Bienvenue à l’Hôtel Transylvanie, le somptueux hôtel de Dracula, où les monstres et leurs familles peuvent enfin vivre leur vie, se détendre et faire « monstrueusement » la fête comme ils en ont envie sans être embêtés par les humains.
Pour l’anniversaire de sa fille, la jeune Mavis, qui fête ses 118 printemps, Dracula invite les plus célèbres monstres du monde – Frankenstein et sa femme, la Momie, l’Homme Invisible, une famille de loups-garous, et bien d’autres encore…
Tout se passe très bien, jusqu’à ce qu’un humain débarque par hasard à l’hôtel et se lie d’amitié avec Mavis…
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/ySZBIoNosz0
DÉTAILS
13 février 2013 en salle / 1h 31min / Animation, Comédie, Action
De Genndy Tartakovsky
Avec Serge Faliu, Adam Sandler, Alex Goude
Titre original Hotel Transylvania
CRITIQUE
Le comte Dracula, propriétaire de l'hôtel Transylvanie, centre de villégiature cinq étoiles pour monstres uniquement (et garanti sans humains depuis 1898), invite certains des monstres les plus célèbres (tels que la créature de Frankenstein, le loup-garou, l'homme invisible, ou bien la momie) pour fêter le 118e anniversaire de sa fille, Mavis.
Pourtant, il s'avère que Jonathan, un jeune humain jovial aux cheveux roux et voyageur ordinaire, débarque de façon inattendue à l'hôtel. Dracula, qui possède un souvenir assez peu flatteur des humains en général, l'encourage fortement à quitter les lieux. Mais, ne parvenant pas à s'en débarrasser, il décide alors de le faire passer pour un monstre, afin de ne pas susciter un sentiment de peur chez ses invités.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Oblivion, ou L'Oubli au Québec, est un film de science-fiction post-apocalyptique américain écrit, produit et réalisé par Joseph Kosinski, et sorti en 2013. Le scénario est inspiré du comics du même nom.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/XH1su3FVEA4
DÉTAILS
10 avril 2013 en salle / 2h 06min / Action, Science Fiction
De Joseph Kosinski
Par Joseph Kosinski, Karl Gajdusek
Avec Tom Cruise, Olga Kurylenko, Morgan Freeman
CRITIQUE
2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, Jack fait partie d’une gigantesque opération d’extraction des dernières ressources nécessaires à la survie des siens. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants dans une colonie spatiale à des milliers de kilomètres de cette planète dévastée qu’il considère néanmoins comme son chez-lui.
Vivant et patrouillant à très haute altitude de ce qu’il reste de la Terre, la vie "céleste" de Jack est bouleversée quand il assiste au crash d’un vaisseau spatial et décide de porter secours à la belle inconnue qu’il renferme. Ressentant pour Jack une attirance et une affinité qui défient toute logique, Julia déclenche par sa présence une suite d’événements qui pousse Jack à remettre en question tout ce qu’il croyait savoir.
Ce qu’il pensait être la réalité vole en éclats quand il est confronté à certains éléments de son passé qui avaient été effacés de sa mémoire. Se découvrant une nouvelle mission, Jack est poussé à une forme d’héroïsme dont il ne se serait jamais cru capable. Le sort de l’humanité est entre les mains d’un homme qui croyait que le seul monde qu’il a connu allait bientôt être perdu à tout jamais.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Caroline du Sud, 1776. Le conflit entre les independantistes et les Anglais semble inevitable. Benjamin Martin sait trop bien ce qu'est une guerre et il n'en veut pas. Cet ancien heros des combats contre les Francais et les Indiens n'ignore rien de la violence des affrontements armes... Aujourd'hui veuf, il eleve seul ses sept enfants dans sa plantation. Son fils aine, Gabriel, s'engage contre l'avis de son pere. Lorsque les troupes anglaises, commandees par le colonel Tavington, arrivent aux portes de sa propriete, il est trop tard.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/iAjn_UViuE0
DÉTAILS
12 juillet 2000 en salle / 2h 45min / Historique, Drame, Guerre, Action
De Roland Emmerich
Par Robert Rodat
Avec Mel Gibson, Heath Ledger, Tchéky Karyo
Titre original The Patriot
CRITIQUE
Certaines critiques pointent le parti pris pro-américain et anti-britannique du film, voyant en lui un outil de propagande américain. A ceux-là, je répondrai que le film fait tout d’abord bien la distinction entre Patriotes et Loyalistes américains (ce qui nuance fortement l’idéalisme américain que certains dénoncent) et se centre de plus sur des faits historiques, qui s’ils sont indéniablement romancés, ne sont démentis nul part. Comment peut-on parler de propagande sur un film historique, n’ayant plus de réel impact sur la société actuelle, et qui ne s’inspire que de faits établis ?
Les années 2000 ont mis en lumière des liens plutôt étroits entre américains et britanniques, en témoigne leur engagement conjoint en Irak en 2003, ce qui semble tout simplement signifier que de l’eau a coulé sous les ponts depuis la Guerre d’Indépendance...
Porté par un Mel Gibson au sommet de sa forme, touchant et charismatique, The Patriot a pour moi sans hésiter sa place de chef d’Oeuvre.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Le règne de Mehmet II, connu sous le nom de "Fatih" (le Conquérant). Le Sultan est monté sur le trône à l'âge de 13 ans. Il est connu pour la prise de Constantinople par les Turcs (1453). Il a contribué à l'hégémonie de l'Empire ottoman au XVème siècle.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/QbFmFfvwgxw
DÉTAILS
Première saison (2020)
Le nouveau sultan (The New Sultan)
Des murs à abattre (Through the Walls)
Dans la Corne d'Or (Into the Golden Horn)
Coulés par trahison (Loose Lips Sink Ships)
Anciennes prohéties (Ancient Prophecies)
Un tas de cendre (Ashes to ashes)
Deuxième saison (2022)
Vers la guerre (House of War)
Eaux troubles (Troubled Water)
La terre de Dracula (Land of Dracula)
Du frère à l'ennemi (Brother No More)
Attaque de nuit (Night Attack)
Le destin (Destiny)
UN PEU D'HISTOIRE
L’historiographie s’accorde pour reconnaître une forme d’apogée dans le long règne de Soliman le Magnifique, sultan (titre politique) et, depuis 1517, calife (autorité suprême dans le monde musulman sunnite). Au xvie siècle, la puissance ottomane s’appuie sur différents leviers. Le premier est la capacité d’adaptation d’un pouvoir centralisé aux réalités diverses d’un territoire allant de l’Égypte à la Hongrie actuelle.
La loi coranique reste le fondement du droit, mais elle peut s’adapter aux réalités locales quand celles-ci touchent à des aspects ignorés par celle-ci, comme le droit minier dans les Balkans. Tout en restant des sujets de seconde zone (zimmi) soumis à un impôt spécifique, les non musulmans (chrétiens ou juifs, notamment après l’expulsion de ces derniers d’Espagne) peuvent continuer de vivre selon leur droit : le patriarcat grec orthodoxe est reconnu à Constantinople en 1454.
Dans la seconde moitié du xve siècle, Mehmed II puis Bayezid II avaient d’ailleurs fait promulguer des codes de lois coutumières, qui témoignent du pragmatisme du pouvoir central. L’autorité sur les provinces reste largement négociée avec les élites locales, souvent chrétiennes, qui en retour fournissent une partie de l’administration centrale. Les pouvoirs du sultan sont théoriquement immenses (réglementations, armée, nominations…) : cette autorité absolue s’inscrit dans le paysage urbain par la stricte codification de l’architecture des mosquées, sous l’impulsion de l’architecte Sinan (1490-1588), qui distingue les édifices du sultan de ceux de fondateurs de moindre rang.
En réalité, les pouvoirs du sultan sont limités par le respect de la charia, source du droit jusqu’à la fin de l’Empire, et des droits coutumiers. Ceci rapproche son pouvoir réel de celui des souverains occidentaux. Le gouvernement (divân) est constitué par les vizirs et d’autres dignitaires, le grand-vizir étant souvent issu des régions chrétiennes de l’Empire.
La volonté du sultan de contourner les grandes familles musulmanes pour créer un lien de fidélité direct avec des serviteurs déracinés se confirme dans l’institution du devshirmê. La mission du devshirmê consiste à prélever des jeunes garçons dans les provinces conquises, en particulier chrétiennes. De statut servile, coupés de leur famille et convertis à la religion musulmane, ceux-ci fournissent ensuite des agents fidèles à l’administration et au corps des janissaires. Pour leur région d’origine, ils peuvent aussi servir de relais d’influence au plus haut niveau de l’État, signe du caractère relatif de leur déracinement.
Le corps des janissaires, quant à lui, représente un autre pilier de la puissance ottomane. Ces jeunes gens d’origine chrétienne forment le cœur des fantassins et le noyau opérationnel de l’armée. La marine ottomane sait aussi mobiliser des Italiens, des Français et des Grecs : le nom du corsaire Barberousse, amiral de la flotte dans les années 1530, est resté célèbre. Dans les provinces, l’autorité du sultan est assurée par l’institution du timâr.
Il ne s’agit pas d’une concession territoriale comme la féodalité en Occident, mais uniquement de la concession des impôts sur un territoire. Les soldats perçoivent ainsi directement les impôts, sans passer par le sultan. Ce système, non héréditaire, connaît un essor considérable à la faveur des conquêtes.
Enfin, la prospérité de l’empire ottoman au xvie siècle assure au sultan prestige et autorité. Istanbul, notamment, conserve son rôle de carrefour économique et culturel entre Orient et Occident, et entre les mondes slaves et méditerranéens. Comme capitale, elle est aussi la vitrine d’un empire multi-ethnique : dès la fin des années 1450, un grand programme architectural inscrit dans l’espace de la ville le nouvel ordre ottoman, par la conversion de la basilique Sainte-Sophie en mosquée, la constructions de nouveaux marchés et palais (Topkapi) ou la revitalisation de la Mésè, artère principale et cœur des processions de la ville byzantine, devenue le Divanyolu.
Entre héritage byzantin, expérimentations urbaines inspirées de l’Italie de la Renaissance et affirmation spatiale de l’autorité du calife, Constantinople synthétise au xvie siècle les multiples visages de la puissance ottomane.
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Paris, 4 Mai 1897. Un incendie dévastateur détruit en quelques minutes le Bazar de la Charité, l’édifice abritant une manifestation caritative très courue, faisant plus de 120 morts, essentiellement des femmes de la haute société et leur personnel. A cette occasion, trois femmes, Adrienne De Lenverpre, Alice De Jeansin, et sa bonne Rose Rivière voient leur destin bouleversé. Usurpation d’identité, amours interdites, changement radical de vie, émancipation, cette mini-série nous plonge dans la société parisienne de la fin du 19e siècle, en suivant le destin romanesque de ses trois héroïnes.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/4uPJio5xcyo
DÉTAILS
2019 / 52 min / Drame, Historique
Créée par Catherine Ramberg, Karine Spreuzkouski
Avec Audrey Fleurot, Julie de Bona, Camille Lou
Nationalités France, Belgique
CRITIQUE
L’incendie qui, en 1897, coûta la vie à 120 personnes est le spectaculaire point de départ de cette série à gros budget. Un drame féministe qui ose le romanesque et révèle le talent de Camille Lou.
«L’incendie du Bazar de la Charité qui fit, en 1897, cent vingt morts parmi les femmes de la haute société parisienne lors d’une vente pour les déshérités porte en lui tellement de potentiel dramatique que le costume passe au second plan», annonçait la productrice Iris Bucher en septembre au Festival de La Rochelle. Promesse tenue dès ce soir où les spectateurs vont enfin découvrir la série la plus attendue et la plus spectaculaire de l’année. Huit épisodes de 2 millions d’euros chacun coproduit avec Netflix (la plateforme les mettra en ligne dès la diffusion sur la Une achevée).
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.