LES TAXIS ROUGES
(film visible en Replay sur Gulli)
Benoît Brisefer, âgé de 10 ans, est un petit garçon au caractère bien trempé et d'une grande générosité qui cache sous une apparence très ordinaire de super-pouvoirs. Son seul point faible : il perd toute sa force quand il s'enrhume. Courageux, vaillant et très volontaire, ce super-héros pas comme les autres n'hésite pas une seconde à passer à l'action pour défendre ses amis et combattre le mal.
Sa petite ville est menacée par une bande de malfrats avec à leur tête le leader charismatique Poilonez qui, sous couvert de l'implantation d'une nouvelle compagnie de taxis, LES TAXIS ROUGES, ont pour objectif de piller la ville. Mais c'est sans compter sur l'intervention fortuite de Jules Dussiflard et surtout Benoît Brisefer qui vont se dresser sur leur route...
DETAILS
17 décembre 2014 / 1h 17min / Comédie
De Manuel Pradal
Avec Gérard Jugnot, Jean Reno, Thierry Lhermitte
Nationalité français
CRITIQUES
Il serait dommage de juger hâtivement Benoit Brisefer : Les Taxis Rouges… En cherchant bien, ont réussit presque à voir le film comme une sorte de capsule de transmission d’un certain imaginaire collectif : en effet, sous son apparence très enfantine, se cache un manifeste plutôt sincère pour tout un pan de la culture cinématographique.
Benoit Brisefer est avant-tout destiné aux enfants : passé l’age de 10 ans, vous risquez fortement de ne pas y trouver votre compte.
Tout est simplifié, explicité, décomplexé… Les dialogues paraissent ainsi, constamment répéter deux fois la même chose. Le jeu d’acteur est très »visuel », cartoon. Pas d’ennui possible, avec ce rythme un poil hystérique… Et la dose de spectaculaire est assurée par ce gamin (Léopold Huet, somme-toute mignon) à la voix affreuse transformé en super-héros...
Avec Benoît Brisefer, on pourrait s’arrêter à l’aspect très opportuniste du film (un super-héros pour gamins), avec son casting old-school mais bankable, ses acteurs en apparence venus cachetonner.
Mais la façon dont leur personnages sont introduits, leur présence, nous fait également penser à une sorte d’hommage.
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