Obsédé par l'idée de venger sa femme de l'organisation de trafic d'organes qui l'a tuée pour prélever son cœur, un homme noue une relation avec la patiente qui l'a reçu.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/W4_FKTeAd7A
DÉTAILS
Depuis 2022 / 45 min / Drame, Thriller
Titre original : Pálpito
Créée par Leonardo Padrón
Avec Michel Brown, Juan Fernando Sánchez, Moises Arizmendi
Nationalité Colombie
CRITIQUE
En un battement : la série Netflix est-elle tirée d'une histoire vraie ?
On le sait, Netflix est une plateforme qui donne sa chance à tous les artistes. De ce fait, le succès de certaines fictions produites par le géant du streaming ne vient pas que de productions anglo-saxonnes ou européennes. On peut aussi voir une modeste série colombienne telle qu’En un battement devenir un véritable phénomène. Ainsi, la fiction qui compte 14 épisodes fait actuellement partie des tendances que conseille la plateforme. Une juste récompense pour une série qui se montre haletante de bout en bout.
En effet, En un battement suit Simon, dont la vie bascule lorsque sa femme Valeria est brutalement assassinée car victime d’un horrible trafic d’organes. Ce plan machiavélique a été orchestré par un riche homme d’affaires, dont l'objectif était de pouvoir récupérer le cœur de Valeria afin de sauver sa femme Camila. Révolté, Simon va tout faire pour enquêter et retrouver les responsables de la mort de son épouse. Cependant, par le plus étrange des hasards, il va croiser la route de Camila et tomber éperdument amoureux d’elle. Toutefois, leur amour survivra-t-il à l’horrible vérité ?
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Dix ans après avoir fait équipe, Ousmane et François, deux flics que tout oppose, reforment à contrecœur leur tandem de choc. Pas franchement ravis de se retrouver, ils mettent le cap sur une petite ville des Alpes pour enquêter sur un meurtre particulièrement sordide. Mais, alors qu'ils pensent avoir élucidé l’affaire, Ousmane et François découvrent une réalité bien plus terrifiante ! De surprises en rebondissements, leur escapade loin du périph les pousserait même à s’apprécier …
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https://youtu.be/pLfCg85DwEY
DÉTAILS
6 mai 2022 sur Netflix / 1h 59min / Comédie, Action
De Louis Leterrier
Par Stéphane Kazandjian, Pierre Le Coz
Avec Omar Sy, Laurent Lafitte, Izïa Higelin
CRITIQUE
En 2012, débarquait au cinéma De l’autre côté du périph, comédie d’action construite autour d’un duo de flics François Monge - Ousmane Diakité que tout opposait, de leurs origines Paris vs banlieue à leurs méthodes. Une Arme fatale à la française portée par la complicité de ses deux interprètes Laurent Lafitte et Omar Sy et dont le succès en salles (2,3 millions d’entrées) laissait augurer une suite.
Celle- ci a pourtant mis du temps à voir le jour, en raison sans doute des carnets de bal de ses comédiens qui ont eu tendance à exploser. Aux commandes, pour cette nouvelle enquête autour d’un crime sordide dans une petite ville des Alpes où le racisme a pignon sur rue, David Charhon laisse la place à Louis Leterrier.
Et le réalisateur d’Insaisissables s’emploie avec une efficacité imparable à respecter le cahier des charges exigé : l’équilibre entre action et comédie. Côté action, il s’y emploie par sa mise en scène énergique (qui aurait cependant mérité d’être expurgé ici et là de plans de drones répétitifs) et Omar Sy donne de sa personne avec une explosivité et une gourmandise qui traversent l’écran. C
ôté comédie, Laurent Lafitte s’en donne tout autant à cœur joie dans un personnage imbu de lui- même, toujours prompt à sortir la vanne qu’il ne faut pas au pire des moments en entraînant évidemment Diakaté/ Omar Sy dans ce petit jeu. Et au final, c’est par cet humour acide, ironique et politiquement incorrect juste ce qu’il faut que Loin du périph séduit en donnant un ton et une humeur frenchy à un univers forcément dominé par les références anglo- saxonnes du genre.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
La vie privilégiée de Sophie vole en éclats quand des secrets scandaleux font surface et que James, son mari et politicien de haut vol, est accusé d'un crime choquant.
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https://youtu.be/Hnw2s4HbjFY
DÉTAILS
Depuis 2022 / 60 min / Drame, Judiciaire
Titre original : Anatomy Of A Scandal
Créée par David E. Kelley, Melissa James Gibson
Avec Sienna Miller, Michelle Dockery, Rupert Friend
Nationalité U.S.A.
CRITIQUE
D'après l'ouvrage éponyme de Sarah Vaughan (2017).
Kate vient de se voir confier l’affaire de sa vie, celle qui va accuser l’un des hommes les plus proches du pouvoir d’un terrible crime. Kate doit faire condamner James Whitehouse.
Sophie adore son mari, James. Elle est prête à tout pour l’aider et préserver sa famille. Sophie doit trouver la force de continuer comme avant. Comme avant, vraiment ? Quels sombres secrets dissimule le scandale, et à quel jeu se livrent réellement ces deux femmes et cet homme ?
Best-seller international, Anatomie d’un scandale est un thriller psychologique et domestique sulfureux qui mêle radiographie d’un mariage et décryptage des arcanes du monde politique. Un roman ténébreux et puissant.
"Une intrique d’une actualité brûlante." The Times.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
«A la cour, un vice n'est rien mais un ridicule tue. »
SYNOPSIS
A travers les aventures de Grégoire Ponceludon de Malavoy, issu d'une famille d'ancienne noblesse tombée dans la précarite, une étude de la cour de Louis XVI et ses antichambres à Versailles en 1780, ou déjà la spiritualité avait pour ennemi mortel le ridicule.
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https://youtu.be/A_O9imp-nmw
DÉTAILS
9 mai 1996 en salle / 1h 42min / Comédie dramatique
De Patrice Leconte
Par Rémy Waterhouse
Avec Charles Berling, Jean Rochefort, Fanny Ardant
CRITIQUE
En 1780, Grégoire Ponceludon de Malavoy (Charles Berling), jeune aristocrate provincial désargenté et candide, arrive à la Cour de Versailles désirant demander au roi Louis XVI les moyens d'assécher les marais de la Dombes, sources d'épidémies qui déciment les familles de ses paysans.
Faute de pouvoir être reçu en audience, il tente de faire carrière en menant une vie mondaine qui lui permettrait de se faire remarquer. Il participe à cette vie de cour où l'honneur et les mots d'esprit (souvent moqueurs et parfois méchants) sont le centre d'une effervescence raffinée et décadente.
Au cours du film, le baron de Malavoy aura en effet l'occasion de faire de l'esprit avec une vivacité sans égale. La plupart des gentilshommes de province, comme lui soucieux de leurs terres, subissent, à la veille de la Révolution française, la lourdeur bureaucratique de l'État royal, mais le baron se fraie un chemin au sein de la Cour bon gré mal gré.
Le marquis de Bellegarde (Jean Rochefort) finit par lui prêter main-forte, en lui donnant le gîte et en l'introduisant à la Cour où Grégoire fait montre d'un talent que redoutent les courtisans déjà installés. En conséquence, des intrigues se nouent entre un favori éphémère du roi, l'abbé de Villecourt (Bernard Giraudeau), sa maîtresse, Madame de Blayac (Fanny Ardant) (qui devient en même temps la maîtresse du baron), Grégoire de Ponceludon et Mathilde de Bellegarde, fille du marquis (Judith Godrèche).
Le jeune baron est confronté à de nombreuses intrigues avant de pouvoir rencontrer le roi en privé, une rencontre « fortuite » dans les jardins du château de Versailles étant arrangée par ses protecteurs. Invité à une démonstration de tir d'un nouveau canon, le baron, qui vise une charge d'ingénieur, propose une amélioration de la pièce. Cela vexe un officier d'artillerie qui l'insulte.
Pour ne pas perdre la face, le baron est obligé de provoquer l'officier en duel et le tue. Aux yeux de tous, Mathilde de Bellegarde, qui assiste au duel, se jette dans les bras du baron. C'est au tour de Madame de Blayac de perdre la face : toute la Cour sait que son jeune amant l'a abandonnée et se réjouit de sa déchéance. Ce faisant, le baron échoue dans son projet d'obtenir une charge, car le roi refuse alors de recevoir « pour le moment » un homme qui a tué l'un de ses officiers.
Grégoire, invité à une réception où on le fait trébucher (croc-en-jambe) au cours d'une danse de manière à le ridiculiser — rappelons que le ridicule est une tare impardonnable dans ce milieu —, quitte Versailles avec Mathilde après avoir prononcé une diatribe saignante dans laquelle il dénonce l'absurdité et le « ridicule » du combat de courtisans, pouvant faire plonger les humiliés dans la misère la plus sombre.
Quelques années plus tard, en 1794, alors que la révolution a contraint nombre de nobles à l'exil, le marquis de Bellegarde alors réfugié en Grande-Bretagne, semble cependant nostalgique de cette période, et le décor final montre parfaitement son état d'esprit (un ciel anglais recouvert de nuages, un paysage mélancolique...).
Toujours fidèle à sa volonté d'assainir les terres de Dombes, le citoyen Grégoire Ponceludon (il a renoncé à la particule) obtient du gouvernement révolutionnaire, en sa récente qualité d'ingénieur hydrographe du Génie civil, de réaliser cette importante entreprise aux côtés de Mathilde, devenue son épouse entre-temps.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Dans le Paris du XVIIIème, Nicolas Le Floch, jeune et brillant commissaire au Châtelet, enquête pour le compte de M. de Sartine, lieutenant général de police du Roi. A la fin du règne de Louis XV, sur fond de luttes de pouvoir, les complots et les meurtres vont bon train : disparitions mystérieuses, meurtres, vengeances, conspirations contre le Roi. Bien que la torture soit monnaie courante, Nicolas veut des preuves avant d'accuser. Des tripots aux salons feutrés de Versailles, de la Basse-Geôle aux bordels de la Paulet, il s'y attelle avec acharnement et résout les enquêtes les plus délicates.
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https://youtu.be/wJgCWWSEluM
DÉTAILS
2008 - 2018 / 90 min / Historique, Policier, Thriller
Avec Mathias Mlekuz, Jérôme Robart, François Caron
Nationalité France
CRITIQUE
Série d'une exceptionnelle qualité, tant par les décors, que les costumes, la brillance des dialogues et l'époustouflant jeu des acteurs qui sont tous, parfaitement dans le ton.
Le jeu de Jérôme Robart et de François Caron mérite des éloges, les autres acteurs ne sont pas en reste et servent avec brio chaque épisode.
La lumière très spéciale qui accompagne la série nous plonge dans une ambiance parfaitement bien adaptée au contexte historique traduit.
L'intrigue est à chaque fois rondement menée et bien adaptée là encore à l'époque.
En conclusion, on ne peut qu'applaudir cette série vraiment exceptionnelle et s'en enorgueillir de sa production française.
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Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Adam Price mène une vie idyllique. Il a un bon travail, il a deux fils merveilleux et son mariage semble sans faille. Mais son bonheur va voler en éclats lorsque "The Stranger" dévoile un secret choquant au sujet de la femme d'Adam.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/r4vSz7VuDGQ
DÉTAILS
Depuis 2020 / 45 min / Drame, Thriller
Titre original : The Stranger
Créée par Danny Brocklehurst, Harlan Coben
Avec Richard Armitage, Siobhan Finneran, Jennifer Saunders
Nationalité Grande-Bretagne
CRITIQUE
Après Safe, sortie en 2018, il s’agit d’une nouvelle adaptation d’un roman d’Harlan Coben, The Stranger. Cette dernière nous plonge dans une enquête policière dont l’auteur a le secret. Entre traque et statut quo, meurtres et disparitions, les huit épisodes de cette minisérie se révèlent haletants tout en respectant les codes du polar traditionnel.
Comme on a pu le constater dans l’adaptation de Guillaume Canet Ne le dis à Personne, sorti en 2006, projeter une œuvre d’Harlan Coben au cinéma exige une grande maîtrise du rythme. Enchaîner les scènes d’action, de course-poursuite et les scènes de tension, les moments de flottement… peut s’avérer encore plus difficile dans le cas où l’histoire se développe en plusieurs actes comme c’est le cas ici. Daniel O’Hara et Hannah Quinn s’en sortent à merveille avec leur réalisation de The Stranger en minisérie.
La tension monte progressivement tout au long des huit épisodes. En effet, les phases de recherche de la femme disparue laissent place à une chasse à l’homme, l’attente qu’un ado sorte du coma se termine en course-poursuite… Les règles du thriller télévisé sont respectées. Si la série n’atteint pas le niveau de violence et de suspens d’un Millénium par exemple, elle demeure très plaisante à suivre, notamment grâce aux protagonistes.
De la policière chevronnée au mari dépassé en passant par l’inconnue aux informations compromettantes, les figures typiques des romans noirs semblent toutes réunies. Celles-ci confèrent une réelle force de conviction à cette minisérie. Siobhan Finneran, qui interprète l’enquêtrice principale, délivre une performance tout en finesse : traversant plusieurs épreuves personnelles difficiles, son personnage laisse entrevoir certaines failles sans pour autant tomber dans le stéréotype du flic dépressif. Un rôle pas forcément évident à tenir mais très bien interprété. On remarque également le jeu efficace de Richard Armitage, qui inspire volontiers le soutien du spectateur dans sa quête pour retrouver sa femme.
Avec son rythme soutenu et son intrigue bien menée, Intimidation constitue une bonne minisérie que l’on regarde avec plaisir. L’enquête tient le spectateur en haleine tout au long des huit épisodes, qui sèment de plus en plus d’indices sans jamais trahir la conclusion de toute l’histoire. Si l’intrigue générale demeure assez classique du style policier, elle n’en demeure pas moins intéressante et l’on passe un très bon moment à la découvrir.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
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Richard Brumère dit « La brume » une véritable légende des services secrets, disparu depuis des années, est de retour en France. L’immunité qu'il avait négociée il y a vingt-cinq ans pour son fils caché, Archibald, est étrangement levée. Pour le sauver d'une opération mafieuse dont il est innocent mais qui pourrait lui coûter la vie, La Brume va devoir réactiver ses contacts un peu vieillissants, faire équipe avec une bande de jeunes plus ou moins téméraires, affronter un bureaucrate zélé, gérer les rapports père-fils nouveau pour lui, mais surtout trouver le courage de révéler à Archibald qu’il est son père.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/MOmw3gC1BCM
DÉTAILS
30 juillet 2021 sur Netflix / 1h 52min / Comédie , Action
De David Charhon
Par David Charhon , Izm
Avec Jean-Claude Van Damme , Alban Ivanov , Samir Decazza
CRITIQUE
Unique tour de force du film, réussir là où Tenet échoua, à savoir nous permettre de réévaluer la notion même de temporalité. En 112 minutes, c'est un improbable retour vers le futur du subjonctif d'une certaine école de nanar hexagonal qui nous est proposé.
De la blague de cité frelatée, en passant par le sketch transformiste en carton, jusqu'aux poncifs sur les services secrets, sans oublier une avalanche de répliques à base de volumétrie pénienne, c'est un catalogue surréaliste qui se déploie. Voir Netflix abonder dans cette école de la médiocrité et y sauter dedans à pieds joints n'en est que plus désolant.
Le Dernier Mercenaire est disponible sur Netflix depuis le 30 juillet 2021 en France.
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Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Ben, Kara et Henry sont les pilotes d'essai d'avions de combat furtifs ultrasophistiqués. Lorsque le capitaine Cummings leur présente EDI, un avion de combat à intelligence artificielle sans pilote humain, Ben est réticent. Mais lors de leur première mission, EDI se révèle un "pilote" hors pair et élimine leur cible avec succès.
Sur le vol de retour, EDI est touché par la foudre. Le cerveau du drone a des réactions étranges. Malgré les réserves de Ben et de Henry, Cummings déclare EDI bon pour le service. Lors de leur mission suivante, contre un baron du crime disposant d'armes nucléaires en Chine, EDI a de nouveaux problèmes, et Ben décide d'annuler la mission... mais EDI refuse d'obéir à ses ordres et mène tout de même l'attaque.
A présent, EDI a décidé d'accomplir une mission top secrète qui, si elle aboutit, pourrait bien entraîner une guerre nucléaire à l'échelle mondiale...
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/blt5PW84FbU
DÉTAILS
24 août 2005 en salle / 2h 01min / Action , Aventure , Thriller , Science fiction
De Rob Cohen
Par W.D. Richter , Rob Cohen
Avec Josh Lucas , Jessica Biel , Jamie Foxx
Titre original Stealth
CRITIQUE
Sur cette bouleversante réflexion métaphysique qui pose des questions existentielles majeures sur l'utilisation de l'intelligence artificielle, Rob Cohen tisse un film d'action d'une finesse rare. Le scénario lui même a l'air d'avoir été écrit par un ordinateur chargé d'appliquer les formules établies par l'US Navy.
L'équation est simple : une pouffiasse en maillot de bain (Jessica Biel, aux portes du néant) + un quota black (Jamie Foxx, prié de rendre immédiatment son oscar pour Ray avec une lettre d'excuse) + un beau gosse (Josh Lucas, version hard de Ben Affleck) + un méchant (le vilain n'avion) et enfin un max d'effets numériques qui kiffent grave pour plaire à tous et qui sont la "target cible" de ce market digital product = gros carton au box office pour film du triomphe de l'Amérique !
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.