jeudi 17 novembre 2022

UNE INTIME CONVICTION

 

UNE INTIME CONVICTION




SYNOPSIS

Depuis que Nora a assisté au procès de Jacques Viguier, accusé du meurtre de sa femme, elle est persuadée de son innocence. Craignant une erreur judiciaire, elle convainc un ténor du barreau de le défendre pour son second procès, en appel. Ensemble, ils vont mener un combat acharné contre l'injustice. Mais alors que l’étau se resserre autour de celui que tous accusent, la quête de vérité de Nora vire à l’obsession. 


BANDE ANNONCE

https://youtu.be/BBEcRlDn1Co



DÉTAILS

6 février 2019 en salle / 1h 50min / Judiciaire, Thriller

De Antoine Raimbault

Par Karim Dridi, Antoine Raimbault

Avec Marina Foïs, Olivier Gourmet, Laurent Lucas


CRITIQUE

Pure fiction, ce film annonçait le premier long du jeune auteur, Une intime conviction, adapté pour le coup d’une véritable affaire, celle de la disparition, en 2000, de Suzanne Viguier, et de l’odyssée judiciaire vécue depuis lors, pendant dix ans, par son mari, Jacques, par ailleurs lui-même professeur de droit.

Soupçonné par la justice du meurtre de sa femme, qui s’apprêtait visiblement à demander le divorce et entretenait une relation extraconjugale avec Olivier Durandet, Jacques Viguier est placé en détention provisoire, puis libéré. Deux camps se ­forment dès lors de manière irrévocable entre ceux qui croient en sa culpabilité (Olivier Durandet en tête) et ceux qui croient en son innocence (ses trois enfants au premier chef). Un premier procès a lieu en 2009 à Toulouse, au terme duquel, en l’absence de preuves, de corps et d’aveux, ­Jacques Viguier est acquitté.

Le parquet fait pourtant appel, et le 2 mars 2010, un nouveau procès s’ouvre à Albi. C’est ici que commence le film d’Antoine ­Raim­bault, qui se déploie sur deux plans. Film de procès ici, avec sa dramaturgie propre ­ (témoignages contradictoires, rebondissements, art rhétorique des plaidoiries, suspense du verdict). Film d’enquête et de ­coulisse là, avec l’introduction d’un personnage de fiction en la personne de Nora.

Interprété par Marina Foïs, ce personnage de mère célibataire est censé avoir été jurée au premier procès de Jacques Viguier et s’être convaincue de son innocence au point de consacrer tout son temps à la démonstration de cette preuve, au point de mettre en danger sa vie intime et professionnelle. C’est elle qui va convaincre Eric ­Dupond-Moretti – qu’on retrouve donc ici mais cette fois sous les traits d’Olivier Gourmet – de s’engager dans la défense de Jacques Viguier. Leur relation – plus que les débats de prétoire, plus que la personnalité du prévenu réduite à un accablement silencieux, plus que l’accusation même – est au cœur du film. Un cœur à la fois romanesque et philosophique.



VOUS AVEZ BON GOÛT !​ 

Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique​.​


CULTURE JAI 

(​L'Histoire de l'Art​ en Musique)

https://vincentdelaplageculturejai.blogspot.com/

LES LUMIÈRES DE VERSAILLES

​(Histoire Moderne en Musique)​

https://leslumieresdeversailles.blogspot.com/

SING SANG SUNG  

(Pop anglaise traduite)​

https://singsangsungenglishmusic.blogspot.com/

CINÉ CINÉMA  (Netflix)​

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