Les jeunes années de la vie de la Reine Victoria, de son arrivée sur le trône à l'âge de 18 ans, en passant par ses premiers émois et son mariage avec le Prince Albert.
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/muL3Hj1N2bo
DÉTAILS
Depuis 2016 / 60 min / Drame, Historique
Créée par Daisy Goodwin
Avec Jenna Coleman, Tom Hughes, Tommy Knight
Nationalité Grande-Bretagne
CRITIQUE
Victoria est une série télévisée britannique dramatique créée par Daisy Goodwin et diffusée depuis le 28 août 2016 sur ITV ainsi qu'aux États-Unis depuis le 15 janvier 2017 sur PBS dans Masterpiece.
Elle met en vedette Jenna Coleman dans le rôle principal et Tom Hughes dans le rôle du prince Albert. La série a été annoncée en septembre 2015, lorsque Jenna Coleman a décidé de quitter Doctor Who afin de jouer le rôle de la reine Victoria.
Un très bonne série revenant sur la jeunesse de la reine d'Angleterre Victoria joué par la convainte Jenna Coleman . Excellente série sur la reine Victoria. ... Une série très bien dans son ensemble, rien à y redire. L'actrice Jenna-Louise Coleman est d'un charme fou et cela ne fait qu'embellir la série et ses images.
VOUS AVEZ BON GOÛT !
Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Procureure à Genève, Anne Dupraz vient de tirer sur Gilles Sarreti, le propriétaire d’une pizzeria. Alors que l’homme est entre la vie et la mort à l’hôpital, l’affaire sidère les collègues de la magistrate, à commencer par Antoine Dupraz, son ex-mari, procureur général, pour qui ce geste demeure incompréhensible. Interrogée par la procureure Carla Meier, récemment nommée, Anne refuse de s’expliquer.
Quelques semaines plus tôt, un doigt de femme avait été découvert dans la cuisine de l’établissement, mobilisant les inspecteurs Jasna Shaqiri et Thomas Hoffman. Au fil des auditions, Anne finit par révéler qu’elle s’est prostituée à Paris, de 19 à 24 ans, sous le nom de Sacha pour le compte de Sarreti, qui s’appelle en réalité Philippe Teissier.
Elle avoue également avoir participé à l’enquête sur lui, en toute illégalité. C’est ainsi qu’elle a approché Mila, une jeune prostituée roumaine, qui lui a confié avoir vu l’assassin de Larissa, une travailleuse du sexe disparue...
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https://youtu.be/JnIAujVIIW0
DÉTAULS
Depuis 2021 / 52 min / Drame
Créée par Nicole Castioni, Flavien Rochette, Léa Fazer
Avec Sophie Broustal, Thibaut Evrard, Michel Voïta
Nationalités Suisse, France, Allemagne
CRITIQUE
Thriller psychologique en six épisodes, Sacha n’est pas un pur produit de fiction: l’histoire s’inspire directement de celle de Nicole Castioni, telle que racontée dans son livre Le Soleil au bout de la nuit (Albin Michel), paru en 1998.
Cette députée au Grand Conseil genevois révélait alors comment elle s’était retrouvée, à l’âge de 20 ans, à vendre son corps rue Saint-Denis à Paris, après avoir suivi un homme qui lui promettait une carrière de comédienne.
Le témoignage bouleversant d’une descente aux enfers, celle d’une jeune fille victime d’une relation toxique et violente, gardée sous emprise et exploitée pendant cinq longues années.
A l’époque, le livre avait fait grand bruit et le tour des plateaux TV français. Nicole Castioni, de son côté, a poursuivi ses carrières de politicienne, juge et écrivaine. Deux décennies plus tard, elle revient porter à l’écran son récit d’innocence volée, de vie fracassée avec l’aide de la réalisatrice et scénariste genevoise Léa Fazer. «Une femme de 30 ans qui témoigne, c’est quelque chose. Mais quand c’est une mère de 50 ans, tout à coup, ça résonne autrement, souligne cette dernière. On voit les zones où les dégâts sont irréversibles.»
Nicole devient donc Anne (Sophie Broustal, parfaite entre douleur et dignité), mère divorcée et coupable de l’impardonnable mais ne pouvant (voulant?) s’expliquer. Pour la cuisiner durant sa garde à vue, on convoque une consœur impartiale (Isabelle Caillat), sceptique quant aux motivations profondes de son geste.
Au fur et à mesure des interrogatoires et des flash-back, on comprend pourtant que la meurtrière est aussi victime, de son passé sur le trottoir (sous le nom de Sacha) mais aussi d’abus subis enfants au sein de sa famille.
Des traumatismes qui en appellent d’autres, difficiles à digérer, d’autant plus à dire. «C’était important de mettre en scène la réception de cette parole, précise Léa Fazer. L’enquête policière enchâssée représente une métaphore de l’enquête personnelle, cette pulsion qu’on a tous de comprendre qui on est.»
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A Chicago durant les années trente, lors de la prohibition, Al Capone règne en maître absolu sur le réseau de vente illégale d'alcool. Décidé à mettre un terme au trafic et à confondre Al Capone, l'agent Eliot Ness recrute trois hommes de confiance, aussi intraitables que lui. Ensemble, les quatre "incorruptibles" partent en guerre contre le gang de Capone...
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https://youtu.be/4U_3miZL_5Y
DÉTAILS
21 octobre 1987 en salle / 1h 59min / Policier
Date de reprise 29 mai 2013
De Brian De Palma
Par David Mamet, Paul Robsky
Avec Kevin Costner, Sean Connery, Charles Martin Smith
Titre original The Untouchables
CRITIQUE
A chaque fois qu’il apparaît dans le film, Capone/De Niro nous tétanise et nous écrase impitoyablement : c’est le sens de ces spectaculaires plongées verticales sur le gangster, sur fond de composition circulaire qui nous enserre (la conférence de presse pendant le rasage, le dîner avec la batte de baseball).
Si De Palma convoque Eisenstein et Le Cuirassé Potemkine lors d’une autre séquence « verticale », celle de l’escalier à la gare de Chicago, ce n’est pas seulement, comme il l’a souvent répété, pour remplacer une poursuite trop onéreuse entre train et voiture, mais aussi pour le message d’Eisenstein : comment les forces de l’argent (ici les sbires de Capone) tentent d’écraser le peuple innocent (ici Ness et la femme au landau).
De même, le travelling avant subjectif, héritage de Hitchcock et figure préférée de De Palma, n’est pas seulement un moyen narratif pour impliquer le spectateur dans le suspense, c’est aussi un moyen symbolique qui évoque une traversée des ténèbres ; traversée tantôt trompeuse (Ness s’approchant d’un suspect dans une ruelle), tantôt maléfique (le tueur au couteau cherchant Malone dans son appartement), tantôt tragique (Malone allant vers son destin).
Dans tous les cas, l’humanité chez De Palma avance à tâtons, pleine d’incompréhension. Le seul travelling avant entièrement positif et lumineux (l’avancée triomphante vers le pont à la frontière canadienne, sous une musique héroïque d’Ennio Morricone) est de courte durée et marque d’ailleurs la séparation entre les deux parties du film, entre la construction des Incorruptibles et leur destruction. Pris dans l’élan de leur victoire, ces derniers arpentent leur territoire sans se méfier (plan-séquence euphorique autour de l’ascenseur du commissariat) et tombent alors dans le précipice et l’horreur. Avec De Palma, amoureux fou de Vertigo, la Chute n’est jamais loin.
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George Almore est un roboticien sur le point de faire une découverte capitale. Dans un laboratoire secret, il élabore un robot humanoïde dont le dernier prototype, J3, est presque terminé.
Chaque modèle est une réplique de plus en plus avancée de sa femme Jules, décédée lors d’un brutal accident de la route. Porté par son amour pour elle toujours vivace, George a volontairement omis de divulguer le véritable but de ses recherches : créer un clone parfait de son épouse…
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https://youtu.be/m0J0BwIzURI
DÉTAILS
2 février 2021 en VOD / 1h 49min / Science fiction
De Gavin Rothery
Par Gavin Rothery
Avec Theo James, Stacy Martin, Rhona Mitra
CRITIQUE
La sélection de science-fiction du festival de Gérardmer était de très bonne qualité cette année. La preuve avec Possessor, Sputnik, l'excellent Come True et ce Archive, réalisé par Gavin Rothery et avec Theo James, Stacy Martin et Rhona Mitra. Un long-métrage plus original qu'il n'y parait, très influencé par Ex Machina et Moon. Cerise sur le gâteau, il est disponible en Blu-ray et DVD depuis le 3 février. Une très bonne excuse pour écrire une petite critique à son sujet.
Les débuts de Rothery à la mise en scène font beaucoup penser aux premiers essais très prometteurs de Duncan Jones. Outre la culture du sentiment de solitude et l’importance donnée à un robot en tant que personnage principal, on y retrouve cette capacité à détourner les problématiques existentielles supposées par le pitch pour retracer un itinéraire personnel, avec un peu d’émotion à la clé. Car après quelques dizaines de minutes, le spectateur averti comprend que le sujet est moins l’intelligence artificielle que le rapport du héros à ses créations, lesquelles s’émancipent très vite de leur aspect matériel.
L’idée qui préside à la conception d’Archive, directement héritée de Moon, est finalement assez belle et très contemporaine : à force de chercher à concevoir la machine parfaite, on finit par oublier qu’on lui confère justement une humanité, humanité avec laquelle il faut ensuite composer. Ainsi, l’intrigue s’amuse à retourner notre conception des robots comme celle de l’ermite qui les a fabriqués. Très vite, il apparait que les prototypes ont finalement autant, voir plus d’importance que le produit final, dont l’émotivité a également de quoi désarmer.
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Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique.
Le tyrannique Lancelot-du-Lac et ses mercenaires saxons font régner la terreur sur le royaume de Logres. Les Dieux, insultés par cette cruelle dictature, provoquent le retour d'Arthur Pendragon et l'avènement de la résistance.
Arthur parviendra-t-il à fédérer les clans rebelles, renverser son rival, reprendre Kaamelott et restaurer la paix sur l'île de Bretagne ?
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https://youtu.be/j7RrsdP-WuM
DÉTAILS
21 juillet 2021 en salle / 2h 00min / Comédie, Aventure, Historique
De Alexandre Astier
Par Alexandre Astier
Avec Alexandre Astier, Anne Girouard, Franck Pitiot
CRITIQUE
Dur d’écrire un article sur un film qui fait tant de polémique, que ce soit pour le meilleur ou pour le pire. Étant une fan de la série, j’ai été voir Kaamelott – premier volet un jour avant la sortie officielle, et j’en suis ressortie… très mitigée.
Le premier sentiment, c’est avant tout la nostalgie ! Un certain plaisir à retrouver les galères de nos chevaliers de la table ronde, marchands et autres ducs… Malheureusement, il y a un vrai souci avec la construction du film.
On a vraiment l’impression que le film est agencé comme une série d’épisodes, et non comme une histoire continue. Le plus saisissant là-dessus est l’utilisation des guests qui apparaissent pour donner deux répliques puis disparaissent totalement du film. Cela fait vraiment penser aux premiers livres de Kaamelott dans lesquels certains épisodes avaient droit à un joli cameo. Pourtant, si l’on reprend les deux derniers livres, où les épisodes font 45 à 50 minutes, la construction ne se fait pas du tout de la même manière. On suit une trame logique et continue, et non hachée comme l’est Kaamelott – premier volet.
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Dans MOURIR PEUT ATTENDRE, Bond a quitté les services secrets et coule des jours heureux en Jamaïque. Mais sa tranquillité est de courte durée car son vieil ami Felix Leiter de la CIA débarque pour solliciter son aide : il s'agit de sauver un scientifique qui vient d'être kidnappé. Mais la mission se révèle bien plus dangereuse que prévu et Bond se retrouve aux trousses d'un mystérieux ennemi détenant de redoutables armes technologiques…
BANDE ANNONCE
https://youtu.be/CnIZQMc1Cw0
DÉTAILS
6 octobre 2021 en salle / 2h 43min / Action, Thriller, Espionnage
De Cary Joji Fukunaga
Par Neal Purvis, Robert Wade
Avec Daniel Craig, Léa Seydoux, Rami Malek
Titre original No Time To Die
CRITIQUE
MOURIR PEUT ATTENDRE n’atteint jamais l’intensité visuelle d’un Skyfall ou le rythme progressif en élévation de Casino Royale. Pour la simple et bonne raison qu’il n’en a pas la prétention.
La mythologie entourant Daniel Craig a déjà été façonnée, creusée. Le sacrifice, la dévotion intacte envers la sainte patrie, le complexe d’Oedipe… Depuis sa résurrection lors d’une partie de poker d’anthologie, Bond a été confronté à de multiples péripéties esquissant une éthique et une morale qui lui sont propres. Spectre avait voulu en rajouter une couche, dénuée de saveur et donc sans grand intérêt.
Fukunaga pense son antagoniste comme un opposant des plus simplistes, dont les motifs restent toutefois légitimes. Il est vrai que James Bond fait partie de ses héros qui existent au contact d’ennemis foudroyants, au charisme inéluctable ; il se trouve que la version de l’espion sous les traits de Daniel Craig dépasse désormais la stature du personnage et de ce qui devrait en découler. Devenu un archétype de la culture contemporaine, le James Bond moderne n’avait pas besoin d’un ultime épisode exhibant les prérequis inhérents à son statut.
La seule ambition de MOURIR PEUT ATTENDRE est de conclure une époque bénie, où l’espion a vécu ses meilleures heures. Le récit, certes un tantinet trop long, se consacre avec rigueur à atteindre cet objectif et 007 devient le fer de lance d’une aventure qui n’a à souffrir aucune comparaison : Quantum of solace ou Spectre opéraient eux aussi des choix discutables, voire difficilement défendables (sans toutefois nuire à l’efficacité du spectacle engendré).
MOURIR PEUT ATTENDRE braque sa caméra sur le héros éponyme autour duquel gravitent de sympathiques pierres angulaires (on se réjouit de retrouver Q, M et d’attachantes alliées). L’ensemble hétéroclite qui en découle traduit les obsessions charriées par la saga Craig : James Bond a désormais plongé dans un univers purement réaliste, bien loin de fictions hautement technologiques de l’ère Brosnan. Désormais, c’est clair : le monde tel qu’il l’a côtoyé lui suffit.
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Jenny est une mère célibataire qui passe des vacances en Europe avec sa fille. Son passé d'ex-espionne du KGB la rattrape quand le CIA s'intéresse à elle notamment pour ses capacités physiques hors normes. Bientôt, une série de meurtres perpétrés par un individu aux mêmes facultés extraordinaires a lieu...
DÉTAILS
Depuis 2022 / 60 min / Drame, Fantastique, Espionnage, Action
Titre original : In From The Cold
Créée par Adam Glass
Avec Margarita Levieva, Ivanna Sakhno, Lydia Fleming
Nationalité U.S.A.
CRITIQUE
Intitulée ‘Au service du passé” ou “In from the cold” en version originale”, ce nouvel original estampillé Netflix se concentrera sur l’histoire de Jenny Franklin, une femme élevant seule sa fille dans une banlieue du New Jersey. Alors qu’elle passe ses vacances en Europe, elle se fait rattraper par son passé, un passé qu’elle a longtemps dissimulé. En effet, cet ex-espionne russe dotée de “pouvoirs spéciaux” liées aux expériences top secret que le KGB a menées sur elle, est forcée par le CIA de reprendre du service. Sa mission : arrêter un dangereux personnage sous peine de mettre en danger sa famille et la nouvelle vie qu’elle a construite.
Aux commandes de cette série composée de 8 épisodes, l’on retrouve Adam Glass (Supernatural, The Chi) et Ami Canaan Mann (Marvel’s cloak, Dagger) qui réalise les deux premiers épisodes.
Le rôle principal est attribué à Margarita Levieva (Allegiance, The Deuce). Ivanna Sakhno (Pacific Rim) incarnera quant à elle Anya, une jeune espionne russe prometteuse, Cillian O’Sullivan (Vikings, The Blacklist) campera Chauncey, un agent de la CIA insubordonné qui traque Jenny dans l’espoir de lui faire changer de camp pour l’aider à accomplir sa propre vendetta. Lydia Fleming jouera Becca, la fille de Jenny, un ado comme les autres qui se cherche sans se douter que sa mère est une espionne. De son côté, Charles Brice (Homeland) interprètera le rôle Chris, un hacker contraint d’agir comme bras droit de Chauncey. Enfin, Alyona Lhmelnitskaya sera Svetlana Petrova, ancienne espionne du KGB, formation et officier du SVR au début des années 1990.
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