(Une tueuse d'élite assaillie par le doute doit lutter pour sa propre survie)
SYNOPSIS
Ava (Jessica Chastain) est une tueuse travaillant pour une organisation d'opérations secrètes, qui parcourt le monde en exécutant des contrats de hauts profils. Lorsqu'un travail tourne mal, Ava est obligée de se battre désormais pour survivre et sauver sa famille.
DÉTAILS
1 décembre 2020 sur Netflix / 1h 36min / Action, Drame, Thriller
De Tate Taylor
Avec Jessica Chastain, John Malkovich, Common
Nationalité américain
CRITIQUES
Une tueuse à gages qui se retrouve elle-même traquée. Voilà en quelques mots la trame du film « Ava » qui vient de débarquer sur Netflix. Une intrigue pas originale pour un sou, mais l'attrait de cette production, en tête du top 10 des programmes les plus visionnés ce samedi sur la plate-forme, se trouve ailleurs : dans son formidable casting. Jessica Chastain (« Zero Dark Thirty », « A Most Violent Year ») incarne le rôle-titre, John Malkovich interprète son mentor et supérieur, Geena Davis sa mère, et Colin Farrell un responsable de l'organisation qui l'emploie. Dans les premières minutes, on retrouve même Ioan Gruffudd, connu des téléspectateurs français pour ses rôles dans les séries « Forever » et « Liar » sur TF1, et « Dr Harrow » sur M 6. Bref, du très beau monde à l'affiche.
Là où le bât blesse, c'est sur son scénario. Au fil de ses missions, Jessica Chastain arbore différentes perruques et looks ultra-glamours, de quoi nous rappeler Jennifer Garner dans « Alias ». Au-delà des interrogations qu'a l'héroïne – qu'ont fait ses cibles pour qu'on veuille les tuer ? – son métier bien particulier permet de faire voyager protagonistes et spectateurs dans de nombreux pays (France, Allemagne, Etats-Unis…) et de multiplier les scènes d'action plutôt convaincantes.
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Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique. CULTURE JAI (L'Histoire de l'Art en Musique) https://vincentdelaplageculturejai.blogspot.com/ LES LUMIÈRES DE VERSAILLES
A flanc de montagne, dans les Pyrénées, est découvert le cadavre d’un cheval sans tête accroché à 2000 mètres d’altitude, au sommet d’un téléphérique. Les capitaines Servaz et Ziegler se voient confier cette enquête. A quelques kilomètres de là, dans un centre pénitentiaire de haute sécurité, la jeune psychiatre Diane Berg entame des séances de psychothérapie auprès de Julian Hirtmann un dangereux tueur en série arrêté des années auparavant par le capitaine Servaz... Les destins de ces quatre personnages vont se percuter dans une enquête des plus terrifiantes.
DÉTAILS
2017 / 52min / Drame, Thriller
Avec Charles Berling, Julia Piaton, Nina Meurisse
Nationalité France
Chaîne d'origine M6
CRITIQUES
Le roman policier français s’est longtemps nourri d’influences étrangères (notamment américaines) et de traditions locales pour se forger une identité moderne et multiforme, faite d’un mélange de social, de politique, d’historique et de désespoir anxiogène. C’est de cet assemblage en apparence hétérogène qu’est constitué Glacé, l’ouvrage de Bernard Minier paru en 2011, qui a servi de support à l’adaptation que propose M6 à partir de mardi soir. Ce thriller fait penser à bien des choses que l’on a vues et lues depuis le début des années 90, de Jean-Christophe Grangé à Thomas Harris en passant par le polar nordique.
Plus qu’une oeuvre d’une féroce originalité, Glacé est une synthèse de différents genres dans laquelle affleurent les références plus ou mois anciennes. Les balises narratives bordent le récit avec une remarquable constance et guident le spectateur, amateur de polars, sur un chemin qu’il a emprunté bien des fois. Il y a un certain plaisir à se laisser ainsi conduire même si on connaît en partie le paysage et même si on devine le but du voyage.
Pour marquer son grand retour dans la création originale de séries télévisées, M6 avait besoin d’avancer en terrain connu. Il fallait du familier mais pas trop. De la tension psychologique mais pas trop. Du drame personnel mais pas trop. De l’étrange mais pas trop. Cette reprise de contact était donc une question de dosage et de ce point de vue, c’est réussi. Glacé est une bonne série, construite et bien réalisée
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Dans les années 1980, Élisabeth fait face à la Première ministre Margaret Thatcher, tandis que le prince Charles connaît un mariage tumultueux avec Lady Diana Spencer.
DÉTAILS
10 épisodes
Chaîne d'origine : Netflix
Diffusée à partir de : 15 novembre 2020
16 photos | 6 vidéos
CRITIQUES
La saison 4 de The Crown raconte l'histoire de trois reines: Elizabeth, celle qui trône pour de vrai; la Première ministre Margaret Thatcher, reine des abeilles du parti conservateur, et Diana, la «reine de cœur» des médias.
La nouvelle saison explore à la fois la dissension entre la reine et sa Première ministre alors que Thatcher, libre-échangiste convaincue, réduit le filet de sécurité social de la Grande-Bretagne à la portion congrue dans les années 1980, et entre Charles, prince de Galles, et sa nouvelle épouse. Elle continue de développer le thème qui sous-tend toute la série: la détermination à préserver l'institution monarchique, quoi qu'il en coûte au bonheur individuel des membres de la famille royale, au moment où Diana fait son entrée en scène.
Selon Annie Sulzberger, directrice des recherches de la série, ce ne sont pas des scénaristes qui occupent la writers' room, la pièce où sont écrits les scripts de chaque épisode, mais une équipe de chercheurs. Les faits semblent pourtant principalement là pour fournir une toile de fond à ce qui intéresse vraiment Peter Morgan, le créateur de la série: les conversations privées qui se tiennent entre les événements publics.
Par exemple, qu'a dit Diana à Charles après la séance photo de leurs fiançailles où, lorsqu'on lui a demandé s'il était amoureux, le prince a répondu «si amoureux veut dire quelque chose»? Qu'a vraiment pensé la reine de l'effondrement du secteur industriel britannique causé par les politiques thatchériennes et le chômage massif qui s'est ensuivi?
Morgan a de toute évidence tenté d'imaginer de façon cohérente ces interactions personnelles et nous ne connaîtrons peut-être jamais leur degré d'exactitude. Mais quid des événements qui ponctuent ces rencontres, et dont certains semblent avoir été forcément inventés dans un but sensationnaliste?
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Un des plus grands producteurs d'ectasy au monde, l'allemand Ferry Bouman, mène une petite vie tranquille dans sa villa à la frontière de la Belgique et de l'Allemagne. Mais les choses commencent à se compliquer pour lui le jour où deux agents sous couverture débarquent sur son territoire pour tenter d'infiltrer son réseau et le stopper...
DÉTAILS
Depuis 2019 / 50min / Drame, Action, Judiciaire
De Nico Moolenaar
Avec Frank Lammers, Tom Waes, Anna Drijver
Nationalité Belgique
CRITIQUES
La série télévisée belgo-néerlandaise se présente sous forme de dix épisodes de cinquante minutes. Diffusée en février 2019 sur la chaîne Een, elle a ensuite conquis la France via Canal+. Aujourd’hui, c’est sur Netflix qu’on la dévore en deux ou trois soirées. Car oui, difficile de ne pas se laisser happer par l’intrigue fascinante du trafic d’ecstasy sur fond de camping à la belge.
Encore une histoire de mafieux sur trame policière? Oui mais pas que. Undercover raconte la couverture de deux policiers, Bob et Kim, venus s’installer dans un camping du Limbourg pour surveiller Ferry Bouman, un producteur d’ecstasy et démanteler son trafic. Seul problème, les deux agents doivent donner l’impression d’être en couple alors qu’ils ne se connaissent pas plus que ça.
Avec une photographie travaillée et des personnages bien construits, Undercover nous plonge dans un Limbourg bien loin des paysages naturels et variés qu’on lui connaît. L’histoire, inspirée de faits réels, nous met aussi face à de curieux personnages qualifiés par la presse internationale “d’absurdes” et grâce à qui l’humour à la part belle dans la série. Mais qu’on se le dise, ces vilains ont surtout le charme des bons Belges bien de chez nous, ce qui donne à Undercover son caractère si particulier.
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Dans les quartiers Nord de Marseille, une tuerie orchestrée par le clan Bastiani a lieu. Deux rivaux sont en charge de l’enquête, Vronski, un flic de la brigade antigang et Costa, un chef de groupe de la BRB aux pratiques douteuses. La situation dégénère lorsqu’un témoin-clé est assassiné durant sa garde à vue. En pleine guerre des gangs, Vronski et ses hommes, pour sauver leur peau, seront obligés de faire des choix lourds de conséquences…
DÉTAILS
30 octobre 2020 sur Netflix / 1h 56min / Policier, Action, Drame
De Olivier Marchal
Avec Lannick Gautry, Stanislas Merhar, Kaaris
Nationalité français
CRITIQUES
Il y a les gros pontes de la mafia. Il y a les petites frappes des quartiers Nord de Marseille. Il y a les flics intègres et les ripoux, les ambitieux et les déphasés. Olivier Marchal ne surprend pas avec sa nouvelle réalisation et propose un film dans la droite lignée de MR-73, Braquo ou encore Les Lyonnais. Les amoureux de polar en auront pour leur argent : c’est bourrin, ça flingue à tout va, les cadavres se suivent et se ressemblent.
Un peu trop d’ailleurs : dans cet aréopage où flics et voyous ne se distinguent que par une carte de police, le nombre de protagonistes et de sous-intrigues noient un peu le tout et brouille l’action d’un film qui manquait déjà d’originalité. Le style de Marchal, qui se réfère autant au français Jean-Pierre Melville qu’à l’américain Michael Mann, n’arrive jamais au niveau de ses deux maîtres. La faute à un scénario alambiqué et des dialogues pas toujours inspirés. Dommage, car certaines scènes demeurent haletantes et le casting aussi efficace que pléthorique.
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(Un ancien espion reprend du service, sur Netflix)
SYNOPSIS
Des années après une mission désastreuse au Baloutchistan, un ancien espion indien affronte son passé en participant à une mission de sauvetage d'otages non autorisée. Un ex-agent à l'espionnage se lance dans une mission de sauvetage au Baloutchistan.
DETAILS
Depuis 2019 / Drame, Action
Titre original : Bard Of Blood
Avec Emraan Hashmi, Vineet Kumar Singh, Sobhita Dhulipala
Nationalité Inde
Chaîne d'origine Netflix
CRITIQUES
Inspirée du roman de Bilal Siddiqui, La vengeance du professeur a été développée par Ribhu Dasgupta nous parle d’un ancien espion indien qui est appelé à reprendre du service pour mener une mission de sauvetage d’otages non autorisée. Kabir Anand, un professeur de littérature shakespearienne, s’habitue tout juste à sa nouvelle vie dans les montagnes isolées de Panchgani lorsqu’un appel haut placé le replonge donc dans un monde qu’il tentait par tous les moyens d’oublier.
Dix ans auparavant, il avait été exclu des services de renseignement indiens après une mission désastreuse au Balochistan sous les ordres de Sadiq Sheikh. Désormais, Kabir doit affronter les fantômes du passé, venger son maître récemment assassiné et vaincre ses ennemis mortels, tout en essayant de sauver le monde et son amour de jeunesse.
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(une série Netflix sur les mystères de Gobeklitepe)
SYNOPSIS
Atiye est une jeune et belle artiste peintre d'Istanbul. Sa vie parfaite va changer à la suite d'une découverte faite dans le plus ancien temple de la Terre, Gobeklitepe. Erhan, un archéologue, découvre un symbole dans les ruines qui relierait Atiye à Gobeklitepe...
DÉTAILS
Depuis 2019 / 60min / Drame, Thriller
Titre original : Atiye
De Nuran Evren Şit
Avec Beren Saat, Mehmet Günsür, Metin Akdülger
Nationalités Turquie, U.S.A.
Chaîne d'origine Netflix Türkiye
CRITIQUE
Istanbul, ambiance carte postale. Atiye, jeune peintre abstraite, tient sa première grande exposition lancée avec un vernissage glamour... 1 000 km plus loin, à la frontière syrienne, sur le site archéologique de Göbekli Tepe, Erhan, responsable des recherches, découvre un signe qui ressemble étrangement à celui que peint sans cesse Atiye.
Pour sa deuxième production originale turque, Netflix est allé chercher un casting cinq étoiles, composé de la star de la série Fatmagül, Beren Saat, dans le rôle principal, de Meral Cetinkaya (Sibel) ou encore Tim Seyfi (Geronimo, Les bonnes intentions). Et, surprise, ce dernier parle français dans la série.
L’apparition d’une vieille femme vient troubler la fête. Atiye en est bouleversée. S’agit-il d’une vision ou d’un début de schizophrénie ? Atiye finira par sortir magistralement portée par les forces surnaturelles.
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D'après l'histoire vraie d'Eli Cohen, un agent israélien ayant infiltré les plus hauts niveaux militaires et politiques de la Syrie dans les années 1960.
Loin des personnages loufoques qu'incarne habituellement Sacha Baron Cohen, The Spy raconte l'histoire vraie de l'espion israélien Eli Cohen.
DÉTAILS
2019 / 52min / Drame, Historique, Espionnage
De Gideon Raff
Avec Sacha Baron Cohen, Noah Emmerich, Hadar Ratzon Rotem
Nationalités Israël, U.S.A.
Chaîne d'origine Netflix
CRITIQUES
Les capacités hors du commun d'Eli Cohen feront de lui un agent hors pair qui deviendra même conseiller du ministre de la Défense syrien avant d'être démasqué et pendu sur la place publique. Impossible de ne pas s'attacher à Eli Cohen, figure de l'espionnage passionnante, dont la vie bascule à partir du moment où il accepte de se glisser dans la peau de son double Kamel Amin Thaabeth, businessman syrien. Cet alter ego lui permettra de s'infiltrer dans les hautes sphères politiques et militaires en Syrie et d'aider Israël à gagner la Guerre des Six Jours.
Le rôle d'Eli Cohen/Kamel Amin Thaabeth, qui va comme un gant à Sacha Baron Cohen, semble résonner en lui et être un parfait miroir de sa carrière d'acteur adepte du travestissement. Grâce à une sensibilité insoupçonnée, le comédien apporte de la fraîcheur et un certain naturel à ce personnage de civil ingénu et patriote devenu un espion ultra entraîné qui désire faire ses preuves coûte que coûte. Inversement, son côté burlesque lui permet d'incarner facilement sa couverture de businessman extravagant. L'acteur arrive à jouer sur les deux tableaux et trouve le juste équilibre d'interprétation alors que le personnage perd pied entre ses deux identités.
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Cette série dramatique relate l'histoire vraie de l'avènement, de la capture et de l'évasion du célèbre baron de la drogue mexicain Joaquín "El Chapo" Guzmán.
DÉTAILS
Depuis 2017 / 55min / Policier, Biopic
De Silvana Aguirre, Carlos Contreras, Silvana Aguirre
Avec Marco De la O, Humberto Busto, Diego Vasquez
Nationalité U.S.A.
Chaîne d'origine Netflix
CRITIQUES
Avec Narcos, Netflix nous avait produit un petit chef d'oeuvre sur Pablo escobar et les cartels Colombiens. Donc El Chapo s’annonçait très prometteur et surtout incontournable car parallèle et dans la continuité de l'histoire des narcotrafiquants d’Amérique du sud.
Tout ça au final pour apprendre que le Mexique est découpé en plusieurs territoires, tous dirigés par des cartels différents. Que le gouvernement mexicain est pourri jusqu'à la moelle car tous les services y sont encore plus corrompus qu'en Colombie sous le règne d'Escobar. L'armée, la Police, les milices travaillent toutes mains dans la main avec les cartels, à coup de dollars et de revolver.
Netflix prend donc ici le pari risqué de nous présenter un criminel, ayant fait des milliers de morts (au bas mot) comme un personnage intéressant, quitte à iconiser un baron de la drogue encore en vie au moment où cette série est diffusée. Le pari était risqué à plus d’un titre, mais il l’avait déjà réussi avec Narcos, alors qu’en est-il pour El Chapo?
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Durant la Période Joseon quelques années après les invasions japonaises de la Corée, des rumeurs sur la maladie du roi obligent le prince héritier à agir pour sauver le pays d'une contagion étrange qui se répand.
DÉTAILS
Type de série Americano Coréen
Chaîne d'origine Netflix
Nb. de saisons2
Nb. d'épisodes12
Durée43-56 minutes
Diff. originale25 janvier 2019
CRITIQUES
Une série de zombies au coeur de l'Asie médiévale, adaptée du webcomic The Kingdom of the Gods. Une série captivante !
Située durant la "période Joseon", au cours de laquelle la Corée fut gouvernée par la dynastie Joseon, Kingdom nous ramène donc au Moyen-Âge.
Alors qu'un clan malfaisant est un train de s'emparer du pouvoir, le Prince héritier, accusé de trahison, est obligé de fuir. Il va alors partir enquêter, avec son garde du corps, sur une mystérieuse maladie dont son père, le Roi, a peut-être été victime.
Mais ce n'est pas un virus comme les autres, qui menace le sud du pays : cette épidémie atroce transforme les gens en zombies assoiffés de sang...
Dans le genre, cette série ne manque pas de mordant !
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mercredi 8 juillet 2020
L'ANCIEN COMBAT
Christoffer Boe, créateur de “L’Ancien combat”, sur Netflix : “Il n’y a pas tant de différences entre un soldat et un biker”
SYNOPSIS
Un vétéran de guerre retourne au Danemark après la mort d'un des hommes sous son commandement. Poussé par sa culpabilité, il se laisse convaincre par la veuve du soldat, une policière, d'infiltrer un gang de motards danois alors en pleine guerre de territoire un combat sans merci entre un dangereux gang de motards et la police, déterminée à les arrêter.
DÉTAILS
Depuis 2018 / 60min / Drame, Policier
Titre original : Kriger
De Christoffer Boe
Avec Dar Salim, Danica Curcic, Lars Ranthe
Nationalité Danemark
Au total, L’Ancien Combat se compose de 6 épisodes de 50 minutes.
CRITIQUES
Série danoise créée par Christoffer Boe qui prend la forme d’un thriller policier, L’Ancien Combat nous introduit à CC, un vétéran de guerre hanté par sa dernière mission. Après la mort de son mari en Irak, Louise, flic à Copenhague, demande au meilleur ami de celui-ci, CC, de l’aider à inculper un brutal chef de gang.
Se sentant responsable de la mort du mari de Louise, CC accepte et se retrouve à intégrer un club de motards menant des activités criminelles. Cette mission périlleuse pourrait bien réellement être sa dernière cette fois.
Au niveau du casting, Dar Salim (Borgen) et Danica Curcic (The Mist) tiennent les premiers rôles et sont entourés par Lars Ranthe, Marco Ilsø, Søren Malling et Jakob Oftebro.
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A Torremolinos, sur la Costa del Sol, les origines de l'une des premières brigades anti-narcotique.
Des policiers intrépides et impulsifs forment une unité spéciale pour lutter contre l’éclosion du trafic de drogue sur la Costa del Sol dans les années 1970.
DÉTAILS
Depuis 2019 / 70min / Drame
De Pablo Barrera, Fernando Bassi
Avec Jorge Usón, Hugo Silva, Álvaro Cervantes
Nationalité Espagne
Chaîne d'origine Telecinco
CRITIQUES
Si vous êtes nostalgique de Starsky et Hutch, des Rues de San Francisco et autres Kojak, voire Amicalement Vôtre, alors vous allez probablement apprécier cette Brigada Costa del Sol, lancée discrètement par Netflix, coproduite avec Mediaset, qui l’a déjà diffusée en Espagne, et la Warner. Une série un peu foutraque, mais inspirée de faits réels. Dans sa forme, elle puise allègrement dans ces séries cultes des années 70, du générique aux roulades sur capots de voitures, en passant par le stylisme. Toutefois, contrairement à certaines séries se déroulant dans les années 70 ou 80, où les reconstitutions sont faites avec d’importants budgets, la palme allant à The Get Down (Netflix - 2017), sur le hip-hop à New York en 1979, qui a coûté 120 millions de dollars (excellente série au demeurant), Brigada Costa del Sol la joue moins ostentatoire, mais avec une qualité tout aussi exceptionnelle. L’astuce repose sur un nombre limité de décors (assez nombreux, tout de même), cependant traités avec grande minutie et profusion d’objets, accessoires, cadres ou posters dans les arrières plans. On notera surtout l’absence assourdissante de tubes dans sa bande-son, qui coûtent généralement une fortune en droits. Cet « exploit » musical, au regard des scènes récurrentes en discothèques, est relevé haut la main par OEO Music qui signe une BO où l’on croit entendre du…, mais non. Bref, du vrai-faux Starsky et Hutch, où nos deux compères se contentent de naviguer dans leur Ford Torino entre le bureau, le bar de Huggy, deux appartements et coins de rue, un parking ou un terrain vague, et hop ! l’affaire, en terme de production, était pliée !
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Une femme retourne dans son village pour la première fois depuis 17 ans. Mais lorsqu'elle disparaît mystérieusement, ses enfants doivent affronter un sombre héritage.
Dix-sept ans après les événements tragiques qui l'ont poussée à fuir, Anna Reina revient dans son village natal accompagnée de ses enfants, Daria et Mauro. Mais lorsqu'elle disparaît mystérieusement, les deux ados n'ont d'autre choix que d'affonter la malédiction locale afin de découvrir ce qui est arrivé à leur mère et de protéger leur famille.
DÉTAILS
Depuis 2020 / 45min / Drame, Epouvante-horreur, Fantastique
De Ezio Abbate, Ivano Fachin, Giovanni Galassi
Avec Valeria Bilello, Luca Lionello, Federico Russo
Nationalité Italie
Chaîne d'origine Netflix
CRITIQUES
Minimaliste (petit budget oblige), voire contemplative, cette première saison parvient à déployer ses axes de thriller et d'horreur sans verser dans l'avalanche d'effets (spéciaux) et nous tient en haleine jusqu'au bout, en jouant notamment sur le sombre héritage des Raina et sur le lien qui les unit aux Asper, une autre famille frappée par la malédiction locale, dont le patriarche, Albert, n'est autre que l'amour de jeunesse d'Anna. L'efficacité de son mystère central est renforcée par le talent de ses comédiens - dont les prestations sont clairement au-dessus de bon nombre d'autres "petites séries Netflix" sorties ces derniers mois. On retient surtout la belle alchimie qui unit Federico Russo et Margherita Morchio, les interprètes des jumeaux Mauro et Daria, dont la relation se révèle vite être le coeur palpitant de la série, alors qu'ils se lancent dans une quête de vérité pour retrouver leur mère disparue qui va bouleverser leurs vies à jamais. Tous les ados ne sont pas aussi bien servis, c'est là le point négatif de la série, mais la fin de la saison laisse entrevoir une évolution plus intéressante pour Giulio (Giulio Brizzi) et surtout Micki (Juju Di Domenico), seul personnage LGBTQ de la série, qui parviennent tardivement à dépasser leur statut de BFF ou de bad boy de service.
Grâce à son peu d'épisodes et à une intrigue efficace, qui déploie une mythologie des plus intéressantes avec peu de moyens, Curon s'impose donc comme un binge-watch recommandé qui saura vous offrir quelques frissons bienvenus en ce début d'été. Et alors que tout porte à croire qu'une suite verra le jour en cas de succès sur Netflix, on espère que la saison 2 saura surprendre à nouveau et se servira du cliffhanger final de la saison 1 pour faire monter d'un cran les enjeux et ne pas tomber dans une redite qui verrait les lignes narratives des premiers épisodes simplement adaptées à d'autres personnages.
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Après avoir disparu quelques années, Danny Rand revient à New York pour combattre les criminels qui en ont fait une ville corrompue, grâce à ses connaissances en kung-fu et la puissance destructrice de son poing.
Marvel's Iron Fist, ou simplement Iron Fist est une série télévisée américaine créée par Scott Buck et diffusée pour la première fois le 17 mars 2017 sur Netflix. Le 12 octobre 2018, Netflix annonce l'annulation de la série après deux saisons, la raison invoquée étant la création du service de streaming Disney+.
Elle met en scène le personnage Marvel Comics Iron Fist, interprété par l'acteur Finn Jones. La série est produite par Marvel Television et ABC Studios. Elle fait partie, avec Daredevil, Jessica Jones et Luke Cage, des quatre séries de l'univers cinématographique Marvel réunies en 2017 dans la mini-série The Defenders, toujours sur Netflix.
DÉTAILS
2017 - 2018 / 52min / Fantastique, Action
De Scott Buck, M. Raven Metzner
Avec Finn Jones, Jessica Henwick, Tom Pelphrey
Nationalité U.S.A.
Chaîne d'origine Netflix
CRITIQUES
Iron Fist est une agréable surprise à mes yeux. La série réussit à prendre ses distances par rapport à ses collègues en nous invitant dans un pan de New-York encore inexploré.
Le démarrage peut sembler longuet, mais personnellement, je n’ai pas trouvé tant j’avais été agréablement surpris par le ton. Toutefois, on peut dire qu’à partir de l’épisode 6, la série prend son envol.
En fait, elle fait l’exact inverse de Luke Cage, Jessica Jones et la saison 2 de Daredevil en finissant bien mieux qu’elle n’avait commencé. Petite précision, c’est la série qui a le plus de combats avec Daredevil. Elle a même plus de combats mémorables que le Diable de Hell’s Kitchen.
Cerise sur le gâteau, elle dispose de la galerie de personnages secondaires la plus solide parmi les Defenders ce qui permet pas mal d’intrigues parallèles. Ces dernières permettent justement d’éviter le sentiment d’étirement présent chez ses collègues (13 épisodes pour Iron Fist, j’ai rien à redire).
Bref, je suis tombé sous le charme. Allez, j’ose : c’est ma série Marvel/Netflix préférée derrière l’indétrônable homme sans peur. Vivement Defenders.
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Le pays prépare les funérailles de Shmuel Netzer dont tout le monde croit qu’il a succombé à une attaque cardiaque sur la table d’opération. Le Premier ministre est en réalité retenu prisonnier par Adam, déterminé à poursuivre son plan à la lettre. L’état de santé de Neta, très affaiblie par son dernier traitement et toujours hantée par la mort de son père, inquiète de plus en plus ses proches. Elle a besoin d’une greffe et le temps presse.
Lorsque sa famille est kidnappée,Yael Danon, une chirurgienne israélienne de renom se retrouve plongée au coeur d'une conspiration politique de grande envergure.
DÉTAILS
2013 / 42min / Drame, Thriller
De Omri Givon, Rotem Shamir, Nir Bergman
Avec Ayelet Zurer, Yair Lotan, Yoav Rotman
Nationalité Israël
Chaîne d'origine Channel 10
CRITIQUES
Co-produite avec Canal +, la saison 2 de la série israélienne Hostages n’était pas attendue. En tout cas, je ne m’attendais pas à ce qu’il y en ai une alors que quand la saison 1 s’était achevée sur Canal +, le renouvellement de la série se faisait encore attendre. Alors que la version américaine n’a pas trouvé son public il y a deux ans de ça, on retrouve donc les personnages de la version originale ici. L’avantage de cette série aura été de créer une suite directe aux évènements de la saison 1. Si dans la première saison des ravisseurs menés par un ancien flic avaient pris en otage la famille d’une chirurgienne, à l’issue de la saison on découvrait que le Président de la République n’est pas mort, qu’il est le père de la femme du flic, et qu’ils ont besoin de lui afin de la sauver car elle a besoin d’un don de moelle osseuse compatible. Dès le début de la saison 2 on est remis dans le bain et même si certains retournements de situation ne sont pas toujours efficaces, j’ai beaucoup aimé le fait que cela soit une suite directe et qu’en plus de ça, la résolution soit aussi intelligente que ça. Au fil des épisodes on apprend à connaître chacun des personnages et la tension que la série installe s’avère être véritablement efficace. Après le premier épisode, je dois avouer que j’imaginais plus ou moins déjà comment cette série pouvait terminer la saison.
Par chance, Hostages a su surprendre grâce à tout un tas de retournements de situations plutôt bien trouvés qui nous trimbalent dans des directions différentes. C’est là que les séries israéliennes se démarquent pas mal des autres, grâce à leur capacité à faire des choses différentes et à résoudre intelligemment les choses en prenant des chemins alternatifs. On est entrainés là où l’on ne s’y attend pas, créant ainsi un vrai sentiment de nouveauté. La série ne veut pas nous mettre dans une situation confortable où l’on connaît déjà la fin avant même d’avoir commencé le récit. Hostages étire certains trucs mais en grande partie pour donner de l’élan à certaines intrigues qui se développent en parallèle afin de mettre en scène une hypothétique saison 3. Si le nom de la série reste justifié par la prise d’otages qui survient tout au long de la saison, c’est tout ce qui se passe en parallèle (dans la première partie de la saison avec les journalistes et dans la seconde avec les manigances du flic) qui a son intérêt. La première partie de la saison donne énormément de place aux journalistes. C’est ce qui donne un vrai élan créatif à Hostages.
La série parvient ainsi à partir dans de nouvelles directions et à proposer de parler de la façon dont les journalistes traitent l’information (et comment ils la récoltent). Ce n’est pas novateur mais cela permet aussi de varier un peu les plaisirs. Le journaliste est un angle différent comme l’angle médical dans la première saison. Accessoirement, Hostages surprend d’autant plus quand le héros se retrouve dans le camp des preneurs d’otages, parvient à s’échapper et ensuite se retrouve dans le camp des policiers. Afin de changer un peu les choses par rapport à la première saison, Hostages change un peu de contexte et de lieu. La prise d’otages de la saison est très différente de la première. La première était très proche de la narration d’un huis clos avec la tension que cela peut installer en parallèle. La seconde est ici beaucoup plus globale avec un vrai barnum, comme une grande prise d’otages qui dure plusieurs jours en somme. C’est une bouffée d’air frais qui sort un peu des sentiers battus. Le héros, incarné par Yair Lotan, n’est pas le plus intéressant de tous. En effet, la galerie de personnages (notamment et surtout féminins) ont plus de choses à raconter.
D’autant plus que Hostages ajoute un peu plus derrière sa réflexion : de la religion, des prisonniers de guerre, des immigrants russes, etc. Si j’avais pris un malin plaisir à voir la première saison, la seconde s’est avérée être encore plus intéressante que la première.
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